Technopol Mix 005 | AMRK

Jeune DJ et producteur lillois, AMRK n’est pas passé inaperçu, notamment lors de son set au Zénith de Lille en mai dernier. Aujourd’hui membre du collectif Mirage Nocturne et DJ résident chez Ostara Crew, il a son style bien à lui : un mélange d’influences retro et de hard bass rebondissantes : early harstyle, hard acid, trance et gabber sont au rendez-vous.

Quels ont été pour toi les temps forts de ta traversée dans le monde de la musique ?

Tout d’abord je dirai que le premier temps fort a été la première fois où je me suis produit en public. C’était pendant l’époque du Covid dans un bar Lillois, tou·te·s mes ami·e·s étaient là et c’est ce jour là que j’ai réalisé que je voulais faire de la musique toute ma vie. Par la suite (environ 6 mois après) j’ai participé à la création du collectif Ostara Crew. J’y ai rencontré les ami·e·s que j’ai aujourd’hui. Ensuite en décembre dernier j’ai intégré la maison d’artistes Mirage Nocturne. Ça m’a permis de rencontrer de nouvelles personnes, des ami·e·s et d’avoir accès à plus d’opportunités. Et enfin dernièrement il y a eu le Zénith de Lille. Je dirai que c’est vraiment cet évènement qui a été majeur pour moi. Ca a été la plus belle expérience musicale de ma vie. Ma famille, mes ami·e·s étaient présent·e·s, c’était un moment plein d’émotions.

Quelle serait ta colab/collectif de rêve ?

Ma collaboration de rêve serait avec VCL parce que c’est l’artiste qui a le style le plus proche de ce que je voudrai faire, et il a été une grande influence pour moi. Pour ce qui est du collectif je n’ai pas vraiment de collectif de rêve même s’il y en qui me plaisent beaucoup (osho, raw, rave alert, blackworks par exemple).

Tu es plutôt opening ou closing ?

Je suis plutôt closing. J’aime mixer des styles assez rapides et qui tapent assez fort, et je pense que ça colle plus à un horaire qui s’approche du closing. En plus je trouve que c’est le créneau pendant lequel le DJ peut le plus se lâcher et épuiser la foule.

Quels sont tes projets à venir ?

Dans le futur j’aimerai beaucoup sortir un EP en vinyle. Essayer de m’exporter de plus en plus à l’international, créer mon label, et de manière générale continuer à m’amuser dans ce que je fais, en apprenant et en découvrant de nouvelles choses.

 

 

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