Du 20 au 22 septembre, les docks de Paris prendront les couleurs du festival Dream Nation : 8 scènes, plus de 60 artistes et environ 18 500 personnes sont attendues dans des lieux atypiques de la capitale. Entre bataille de Vjing, B2B explosifs et plus d’une dizaine de styles représentés, c’est devenu un immanquable de la rentrée. Voici les 5 raisons qui prouvent que ce festival risque de déchaîner les Docks de Paris : 

1.

 Un festival multi-style et fédérateur avec 8 scènes sur 3 jours

Avec l’aide d’une programmation impressionnante, le festival risque de faire pleuvoir les BPM sur toutes ses scènes ! Un opening confié au collectif Possession mettra tout d’abord la Techno et ses dérivés à l’honneur, et lors du main event c’est 4 scènes qui feront danser les foules. Bass music, Trance, Hard Music et Techno seront les maîtres-mots de cette édition. Enfin, pour un closing spécial à la Station Gare des Mines, 3 collectifs seront invités afin de s’occuper des 3 scènes de cette ancienne gare. Retrouvez donc La Quarantaine pour la scène Techno Acid, AzTechno pour la Trance et The Bass Society pour la stage Bass Music. 

Le son pour préparer l’opening : lllnurse – Date With Kate

2.

Un voyage onirique, grâce à une scénographie travaillée pour chaque courant musical

Comme à son habitude, la Dream Nation se prépare à en mettre plein les yeux à tous ses participants. Jeux de lumières, installations numériques, mapping 3D et projections créeront un univers totalement différent en fonction du genre musical. Mais plus qu’une scénographie, ce sont de véritables performances artistiques qui seront proposées tout au long des 3 jours du festival : l’opening aux Docks de Paris offrira un battle de Vjs entre Delta Data  et VJ Heymes alors que le main event invite un VJ par scène : TAS s’occupera de la Trance, Rabbit Killerz de la Bass Music, le duo Fémur de la Techno et Octopus  & Vision Impossible (VJ de Radical Redemption) de la scène Hard.

Pour avoir un avant-goût du VJing : Halfred – Lagoon (visuals by TAS) 

3.

Une programmation audacieuse avec des artistes peu présents en France

Avec son line-up international, la Dream Nation propose des shows dignes des plus grands festivals. Entre autres, le duo israélien Infected Mushroom fera son grand retour en France et le maître du hardstyle Radical Redemption fera souffler un vent de fraîcheur sur la scène Hard Music. Ils seront notamment accompagnés de Partyraiser, N-Vitral, Billx ou encore Lady Dammage pour la scène Hard, Bliss, Graviity, Sensifeel, Major 7 pour la scène Trance. La Bass Music n’est pas non plus en reste  car le maître de la dubstep 12th Planet, le partenaire régulier d’Excision Downlink, Dubloadz ou encore Spag Heddy seront présents. Quand à la scène Techno, elle sera foulée par Keith Carnal, Luke Slater aka Planetary Assault Systems et même le militant de la rave Electric Rescue. Peu présents sur les programmations françaises, ces artistes déchaînent les foules du monde entier et viendront électriser celle des Docks de Paris.

Le son pour préparer le festival : Infected Mushroom – Becoming Insane

4.

Des B2B inédits seront proposés pour l’occasion

Avec un opening confié au collectif Possession, il était certain que rien n’allait se passer comme d’habitude. Le collectif qui fait transpirer les nuits parisiennes s’installe donc avec Headstrong aka Randomer b2b Clouds, Remco Beekwilder b2b Raffaele Attanasio, Regal b2b Alien Rain et la résidente Parfait b2b IllNurse. Des duels qui feront résonner les sonorités Acid, Techno et Indus dans les têtes des participants. Même les VJ auront leur B2B avec Delta Data  et VJ Heymes en duel.

Le son pour se préparer aux duels : Regal & Alien Rain – Acid Affair Pt.01

5.

Des lieux atypiques investis pour l’occasion

L’Opening (vendredi 20 septembre) et le Main Event (samedi 21 septembre) auront lieu aux Docks de Paris, les mythiques entrepôts industriels des magasins généraux de la ville de Paris, classés patrimoine culturel national. Avec un espace chill en extérieur, des stands et des zones d’animation, plus de 17 000 m2 de warehouse seront dédiés à la fête. Pour le Closing (dimanche 22 septembre), le festival investit la Gare Des Mines. Friche industrielle fondée sur les vestiges d’une gare à charbon désaffectée, ce lieu alternatif accueillera à une centaine de mètres des Docks de Paris, les plus téméraires en mode After jusqu’à 14h.

Le son de l’after : Sana + Nasa – Scarcity

Plus d’informations sur le festival Dream Nation : Facebook / Site Internet / Billeterie

Photo en une : © Air G