Technopol Mix 081 | VBK

Initiée au rock dès son enfance, le parcours musical de VBK est profondément marqué par cette esthétique et ses dérivés. Aujourd’hui DJ et productrice, la nordiste associe ses influences psychédéliques à des rythmes frénétiques, lui conférant une patte trippy qui a déjà séduit plusieurs labels berlinois, dont Warning et Mana Abundance.

VBK poursuit son aventure dans la techno mentale, en parallèle de son projet Laisse Tomber Les Filles, engagé FLINTA* et en faveur d’une nouvelle vision de la musique.

 

Peux-tu nous parler de tes premières rencontres avec la musique, et de la façon dont la musique électronique s’y est immiscée ?

Je crois que tout a commencé quand mes parents m’ont offert à Noël l’album de MobyPlay” quand j’avais 10 ans. J’avais une chaîne HiFi dans ma chambre et l’album passait en boucle du matin au soir. Puis s’ensuivit une belle collection de CD en tout genre, allant des Doors à Pink Floyd puis au Daft Punk, puis des vinyles. J’ai vite associé la techno comme le “rock psyché” de l’électro, ça me parlait beaucoup. La musique ne m’a jamais quittée depuis.

 

Es-tu familière avec d’autres genres de musiques ?

Bien sûr. Pour moi, tout a commencé avec le rock, avec beaucoup de percussions, beaucoup de rythme. Cette musique m’a transmis beaucoup de valeurs comme le respect d’autrui, la bienveillance et l’authenticité. J’aime beaucoup cette musique, elle fait clairement partie de moi. Il ne faut pas être sectaire, car les styles de musique s’influencent les uns les autres. La musique rock influence beaucoup la Dark Disco ou l’EBM par exemple, des styles que j’aime beaucoup jouer également quand j’en ai l’occasion.

 

Si tu devais changer ou améliorer quelque chose sur notre scène, qu’est-ce que ce serait ?

Moins de téléphones et moins de lumière dans les clubs !

 

 

Si tu devais donner un mot sur ton podcast ?

Authentique.

 

Tu as récemment sorti un titre sur le label Art Bei Ton. Comment cette track a-t-elle vu le jour et que signifie-t-elle pour toi ?

J’ai sorti hier mon nouveau morceau intitulé “Demon Days” sur le label berlinois Art Bei Ton. Je suis particulièrement contente de cette sortie, car c’est un morceau que j’aime beaucoup. Il est progressif, rythmé et profond. Il me fait voyager. C’est le morceau qui me ressemble le plus je pense. Je vous laisse le découvrir dans le podcast.

 

Quels sont tes projets à venir ?

L’heure est à la production. D’autres morceaux sont prévus pour sortie dans les prochains mois, ainsi que des self-releases.

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